Bio/Contact
André MARBACH
Ex-Post-Doctoral Research Associate at “Centre de Recherche en Histoire de l’Université Metz-Nancy (France)
amj.marbach@wanadoo.fr
Après une carrière d’ingénieur, nous nous sommes dirigé vers l’Histoire.
Une thèse de doctorat en Histoire Romaine a été soutenue à l’Université de Lorraine (Metz Nancy), sous l’autorité de Mme Jeanne Demarolle, Professeur d’Histoire Romaine.
Cette thèse a été publié à au British Archaeological Reports -Oxford.
-Recherches sur les instruments aratoires et le travail du sol en Gaule Belgique,
- BAR, International Series1235, 2004.
A cela vient s’ajouter un catalogue inédit.
-Les instruments aratoires de Gaules et de la Germanie Supérieure.
Catalogue des pièces métalliques.
-BAR International Series1236, 2004.
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François Sigaut, alors Directeur de Recherches à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales à Paris, qui était de mon jury, m’a demandé de poursuivre mes recherches sur les faux avec la même méthode de travail (approche technique).
Ce qui a été fait avec une nouvelle publication au B.A.R ,intitulée.
-Catalogue et étude des faux et outils agricoles de coupe à lame et à manche en Gaule.
BAR,-Internartional Series 2376, 2012.
Dans son introduction, François Sigaut a mis en lumière cette approche personnelle.
«Reste la «méthode Marbach». Elle a fait ses preuves avec les instruments aratoires. Réussira-t-elle aussi bien avec les faux ? Je n’en suis pas certain, mais je suis optimiste, et cela pour deux raisons. D’abord parce que c’est une méthode nouvelle, qui n’avait pas encore été vraiment essayée. Ensuite parce que c’est une méthode rigoureuse, qui nous permet de sortir des sentiers battus ― ou, mieux, qui nous y oblige. J’ai dit plus haut combien il nous était difficile de nous déprendre de nos habitudes, lorsqu’elles étaient devenues des évidences. Le regard de l’ingénieur, dans sa rigueur décapante, est un moyen particulièrement efficace pour y parvenir. M. Marbach n’a pas résolu tous les problèmes, il s’en explique en toute franchise. Mais il les pose d’une façon toute nouvelle, et je suis convaincu que c’est en le suivant dans la voie qu’il a ouverte que nous pourrons sortir de l’impasse où nous sommes depuis au moins trois quarts de siècle.»
Ces quelques mots avec l’appui de mon professeur d’Histoire Romaine, Mme Jeanne Demarolle, dont l’influence a été constante, sont à l’origine de la réalisation de ce site.